Nos prix vivants

Dans le monde de la lutte, les prix vivants ont une longue tradition. Les premiers documents attestant que les meilleurs lutteurs recevaient des prix en nature remontent au XIIIe siècle. Au fil des siècles, et plus particulièrement, au cours des dernières décennies, les prix sont devenus de plus en plus gros, lourds et précieux. En 1926, le vainqueur de la Fédérale a gagné un mouton, en 1961, c’est un bœuf qui a été offert au roi de la lutte Karl Meli.

Notre taureau vainqueur

Dans de nombreuses cultures, le taureau est considéré comme le symbole de la force et de la prestance masculines. “Kolin, le taureau vainqueur”, qui a été remis lors de la Fédérale de Zoug, pesait 1,2 tonnes.

Notre taureau vainqueur est un taureau avec des cornes de la race Brune suisse. Actuellement, il profite de ses années d’enfance sur l’alpage avant d’être préparé à sa mission.

Nous remercions chaleureusement notre partenaire pour le taureau, Glarner Schabziger, ainsi que nos éleveurs expérimentés, Bert et Peter Horner d’Ennenda.

Notre taureau vainqueur sur l’alpage d’Altenoren durant l’été 2022, en compagnie de son parent Bert Horner, celui avec son fis Sämi.

Autres prix vivants

Nos autres prix vivants ne sont pas encore connus. Il va de soi que nous te les présenterons avec grand plaisir dès que nous les connaîtrons.